Stephen Hamilton • Lovely Honey Buns
Nombre de messages : 69 Age : 32 Job : Photographe Date d'inscription : 05/11/2007
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| Sujet: Stephen Noah Hamilton | Honey Buns Lun 5 Nov - 23:23 | |
| FICHE DE PRESENTATION
Nom : HamiltonPrénom : Stephen NoahÂge : 25 ansDate et Lieu de Naissance : Stephen est né le 4 décembre à San Diego en Californie (USA) Origine de votre personnage : Son père était Américain et sa mère Anglaise.Occupation : D’abord photographe pour un des nombreux magasines de San Diego, Stephen est par la suite, devenu un photographe Free-lance. LOVE STORYStatut actuel : CélibataireSituation sentimentale : « Tu l’aimes ? »« Allez arrête toi » Répliqua Stephen, haussant les épaules et soupirant.« Alors pourquoi tu dragues plus autant qu’avant … Pourquoi tu l’as pas trompé une seule fois … Avant ça te dérangeais pas avec les autres » Portant sa bière à ses lèvres, l’ami de Noah attendit, impatient, une réponse.« Mais arrêtes, tu veux que je te dise quoi … Peut être que je deviens mature » Un gloussement de la part des deux jeunes hommes, quatre verres de bière plus tard et Stephen était assis au bar, la main posé sur l’épaule d’une jeune blonde. « Stephen Hamilton » Décrochant un sourire malicieux, il lui paya un verre, puis deux, puis trois et bientôt il ne les compta plus. Stephen voulait prouver à ses amis qu’il n’était pas amoureux, qu’il n’était pas sérieux, qu’il avait encore l’envie indomptable de draguer tous les soirs. Il voulait leur prouver.
La soirée avança, la boisson coula à flot. Vers une heure du matin, il l’amena chez lui, et comme il se l’était imaginé, termina la soirée avec elle. Oui mais, il ne ressentait pas ou plus cette certaine satisfaction. Non. Quelque chose avait changé.*** « Allo ? » Ecrasant un bâillement, Stephen se frotta les yeux, attendant que son interlocuteur réponde. « Sweety, tu dors ? » Cette voix. Elle. Ce surnom. Sursautant, Stephen ouvrit de grands yeux ronds, cherchant à comprendre la situation dans laquelle il était. Le regard affolé, il le posa sur une divine créature allongée à ses côtés. Oh non, il avait osé. « Stephen, ouvre moi je suis … » Mais non, elle avait réussi. La porte de la chambre à coucher s’ouvrit. Dans l’entrebâillement, Lauren Williams , le téléphone encore contre l’oreille. Sous le choc, celui-ci lui tomba des mains, résonnant contre le plancher. « Stephen ! » Le regard perdu, elle cherchait à comprendre. Pourquoi avait-il fait cela. Pourquoi. Elle était perdue.
Perdu. Il l’était tout autant qu’elle. Il ne se souvenait de rien. Elle voulait oublier. Assis sur le lit, le regard ancré dans celui de celle qu’il devait dorénavant considérer comme son ex-petite amie, Stephen cherchait ses mots. La mine encore endormie, il était pourtant parfaitement éveillé. Il se souvenait. Peu à peu, il se rappelait.
Alors que Lauren reculait pas à pas, la main contre sa bouche, blessée ; lui restait assis sans bouger. Il ne savait pas quoi faire, quoi dire. Il n’avait jamais vécu une telle situation et pensait pouvoir s’en sortir plus tard. Il pensait qu’en la laissant repartir seule, elle se calmerait et qu’il pourrait appeler plus tard pour s’excuser. Non. Il n’avait jamais vécu ce genre de situation. Il ne savait pas ce qui l’attendait.
Lorsque les pas de la jeune femme résonnèrent sur le plancher du couloir, à une intervalle plus restreinte, il comprit qu’elle courrait. Lorsqu’elle hoqueta, il comprit qu’elle pleurait. Lorsque la porte de la maison claqua, il comprit qu’il l’avait perdu. *** « Je t’aime Lauren … J’ai besoin de toi … Je suis désolé, je sais que je donne l’impression de ne pas t’aimer mais c’est juste que je ne sais pas montrer mes sentiments mais crois-moi, je t’aime. Et je sais que j’ai merder mais j’ai vraiment besoin de toi » Assis dans sa voiture, s’observant dans son rétroviseur, Stephen s’entrainait depuis dix bonnes minutes. Cela faisait dix minutes qu’il était garé devant la maison de Lauren Williamson, répétant devant un miroir les mots qu’il lui dirait lorsqu’elle ouvrait la porte, s’il réussissait à se trainer jusqu’à cette dite porte. « Non, non, trop sentimental » Se lança-t-il à lui-même, soupirant. « Ecoute Lauren, je t’aime, voila c’est dit, je t’aime » Le regard plus ferme et décidé, il resta planté devant le rétroviseur comme s’il attendait une réponse. « Non, pas comme ça non plus » Désespéré, Stephen poussa la porte de sa voiture, posant un pied dehors. « Tant pis, j’y vais et on verra bien » Refermant la portière derrière lui, il marcha jusqu’à la maison de son ex-future petite amie qu’il voulait reconquérir. Il l’aimait, vraiment, et ne voulait surtout pas la perdre. Certes, il avait joué avec ses sentiments et l’avait mené en bateau mais c’était au début, lorsqu’il ne la connaissait pas entièrement. Maintenant, il ressentait cet étrange sentiment, celui qui fait battre votre cœur à deux cent à l’heure lorsqu’elle passe près de vous, celui qui vous pousse à respirer profondément avant un rendez-vous, celui qui étreint votre cœur lorsqu’elle n’est pas là, celui qui se ballade dans tout votre corps tel un frisson, qui illumine votre regard à chaque instant …« Oui ? » Là, devant ces yeux, un homme torse nu. Ravalant sa salive, relevant la tête, plantant son regard dans celui de Monsieur Muscle, Stephen sentit son sang ne faire qu’un tour. Les mots restèrent coincés au fond de sa bouche. Ils ne voulaient pas sortir. Ils l’étouffaient. Ne prenant la peine de rentrer à l’intérieur, Stephen savait ce qui l’y attendait. Sa petite amie, du moins son ex, elle aussi, à moitié nue. Il en était persuadé et n’avait pas la force de se rendre là-bas, pour lui parler. C’était trop. Juste trop. Retournant à sa voiture, desserrant d’un geste vif le col de sa chemise, il posa les mains contre la portière, sans bouger. Se contentant de respirer fortement.
L’amour. Ce sentiment qui vous brise le cœur en quelque seconde. Ce sentiment qui laisse derrière lui, des hommes ruinés, désespérés, affaiblis … Ce sentiment qui vous change un homme. Pourquoi s’est-il laissé convaincre par l’agence BIG LOVE ? Depuis la seule et unique histoire d'amour qu'il a vécu, Stephen a préféré oublier ce sentiment et s'est tourné vers des histoires courtes, rapides où tout est permis. Le jour où il entendit vaguement parler de cette agence, il se trouvait à un bar californien, devant une vodka, seul. C'est à cet instant qu'il prit conscience qu'il finirait seul s'il continuait ainsi. Il pouvait nier et continuer de sortir avec une fille différentes chaque soir, il avait un vide. Il lui manquait quelque chose. Quelque chose d'essentiel. Pensant qu'il n'avait rien à y perdre mais plutôt tout à y gagner, il s'est alors décidé et le voila, prêt à rencontrer l'amour.Que signifie pour lui le « grand amour » ? Ne trouvant plus aucune signification à ce mot aujourd’hui et niant même l’avoir trouvé un jour, Stephen se contente de répondre, lorsqu’on l’interroge à ce propos, que ce n’est qu’une idée rêvée pour se protéger de la réalité. Mais au fond de lui, il aime encore à penser que ce grand amour est un fait et qu’il existe, quelque part.Ce qu’il recherche chez l’autre : Une femme qui s'occupe de lui à chaque instant, qui range ses affaires, qui lui fait à manger et qui comble ses envies. Voila ce qu'il vous répondrait si vous lui posiez la question. Mais en creusant un peu plus profond, on découvre que ce que recherche Stephen est une femme attentive mais ayant du répondant. Il lui fait quelqu'u capable de le comprendre, de l'écouter mais quelqu'un aussi capable de le remettre dans le droit chemin lorsqu'il s'égard. Il a besoin d'une femme calme et posée, pour ainsi trouver un certain équilibre. *** BODYStyle vestimentaire : L’armoire à vêtements de Stephen est un mélange intriguant d’originalité et de banalité. En effet, de provenance italienne - il a toujours voué un culte mémorable à ce pays et à cette culture- et américaine, ces affaires peuvent paraître totalement affolantes pour certains, très classes pour d’autres ou bien sans intérêts. Il faut savoir que la mode entre ces deux régions est très disparate. Il a donc trouvé le moyen sûr de séparer sa penderie en deux parties : La partie Américaine, la partie Italienne. Vous trouverez votre bonheur de chacun de ces côtés. Il y est recensé pas mal de vêtements colorés, tout autant que des vêtements plus sobre. Alors pour les fan de Gucci et Dolce & Gabbanna, cette penderie est votre lieu de pélerinage. Oui mais il ne les sort que pour des occasions très spéciales. Stephen mélange à la perfection le style Fashion au style Classe. Manies : Les manies de Stephen, aussi nombreuses soient-elles, sont souvent très agaçante pour son entourage. En effet celui-ci à la fâcheuse manie, de n’en faire qu’à sa tête, de réfléchir après avoir agit, de foncer tête baisser n’importe où, et de cacher ces sentiments pour ne pas être vulnérable. Néanmoins, il possède certaines manies plus « agréables », comme celle de trouver de l’humour en n’importe quelles situations, ou celle de toujours avoir faim. Etant un humain comme beaucoup d’autres, il lui arrive de passer sa main dans ces cheveux lorsqu’il se sent gêné, ou encore rire pour se défaire de certaines questions.Ce qu’il regarde en premier chez la femme : Cela serait mentir s’il disait qu’il ne regarde pas la beauté d’une femme avant de la séduire. Il reste avant tout un homme et, est influencé par le corps, il ne peut le nier. Mais, alors que beaucoup regarde le tour de poitrine, Stephen est aussitôt attiré par le regard et le sourire. Ces deux atouts indéniables qui font le charme d’une femme. Ce qu’il déteste dans le physique d’une femme : Bien que cela puisse paraître superflu, Stephen déteste les jeunes femmes ayant les mains sales. Très étrange me direz-vous. Mais il trouve qu’une jeune femme aux mains douces, propres et soignées et toujours plus attirantes. FEELING3 Qualités : Audacieux, Loyal, Passioné3 Défauts : Baratineur, Curieux, IndépendantCaractère : Stephen est un jeune homme qui, au premier abord, paraît sûr de lui, audacieux, et irresponsable bien qu’hyper sexy. Car oui, on ne peut le nier. Son physique joue beaucoup sur son caractère. C’est grâce à lui si le jeune Californien arbore une démarche aussi assurée. Pourtant, loin d’être le stéréotype de l’homme charmeur et hypocrite, Stephen cache au fond de lui une grande sensibilité. Assez sensible, son regard se couvre d’une légère brume très facilement. Il est pourtant difficile de lire en lui tant il cache ses sentiments. Il a appris à protéger son cœur pour ne plus souffrir comme la première fois. Si son côté séducteur est ce qu’il est, c’est bien pour cette raison. La peur de souffrir l’empêche de s’attacher pleinement à une femme. Mais, niant ce fait, il dit simplement qu’il préfère profiter de sa jeunesse sans s’encombrer d’une relation sérieuse. Passionné, il va au bout de ce qu’il entreprend, montrant une force et un courage indéniable. Très loyal, Stephen est une personne de confiance qui sait être une oreille attentive lorsqu’il y a besoin. Considéré comme le joyeux luron de la bande, il passe son temps à faire des blagues sur n’importe quel sujet, spécialement lorsque celui-ci devient gênant. YOUAvatar : Jensen AcklesComment avez-vous découvert le forum : Je suis au courant de tout (a) Nan par Cherry je crois Autre chose à dire ? POSITIIIIIIIVE FRAMBOISE CHERIE
Dernière édition par le Mar 6 Nov - 15:14, édité 13 fois | |
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Prudence Boleyn MALIBUADMIN You know you loved me
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| Sujet: Re: Stephen Noah Hamilton | Honey Buns Mar 6 Nov - 12:23 | |
| Oooh, viii, le prénom, j'ai trouvée ça sur je sais plus où... Enfin bref, en regardant bien, ça fait effectivement pensée à Charmed. J'avais pas fais attention au départ | |
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